Son rôle est de coordonner le "parcours de soins", c’est-à-dire les différentes consultations et examens nécessaires au suivi de la santé du patient. Il peut s’agir d’un médecin généraliste ou d’un spécialiste. C’est lui que l’assuré consulte en premier recours. Si besoin, avec son accord, son médecin traitant l’adressera dans un deuxième temps, au professionnel de santé le plus apte à traiter sa situation.
Je garde l’espoir d’une prise en charge et d’un diagnosticafin de mettre en place un protocole
Actualisé en 1996 le Sertment d’Hippocrate régit les règles de déontologie des Médecins.
« Je jure par Apollon, médecin, par Esculape, par Hygie et Panacée, par tous les dieux et toutes les déesses, les prenant à témoin que je remplirai, suivant mes forces et ma capacité, le serment et l'engagement suivants :
Je mettrai mon maître de médecine au même rang que les auteurs de mes jours, je partagerai avec lui mon avoir et, le cas échéant, je pourvoirai à ses besoins ; je tiendrai ses enfants pour des frères, et, s'ils désirent apprendre la médecine, je la leur enseignerai sans salaire ni engagement. Je ferai part de mes préceptes, des leçons orales et du reste de l'enseignement à mes fils, à ceux de mon maître et aux disciples liés par engagement et un serment suivant la loi médicale, mais à nul autre. »
Je reste persuadée que cette déontologie est le fondement de notre culture. Sans précepte, il ne peut y avoir de règles et de pratiques. Nos lois ont été mises en place grâce à des coutumes. La profession de Médecin a ouvert les portes de l’espoir et de l’étude du corps humain. Cette soif d’étudier et de comprendre l’invisible est inépuisable et grâce à l’identité unique de chaque individu l’exploration apporte de nombreuses réponses et les solutions de nouvelles questions.
Je crois aux réponses apportées par la recherche et j’espère sincèrement qu’elle permettrons d’éradiquer des maladies qui nous touchent.
En attendant nous apportons notre inaltérable concourspour aider cette recherche.
Le corps humain est complexe. Par ses gènes chaque individu est un ensemble decellules.Cette diversité fait de notre planète une terre d’espèces uniques, riche de ses différences.
Cultiver cette multiplicité fait évoluer nos cultures tout enpréservant leur origine. Nous sommes tous uniques et c’est ainsi que l’on respecte ses prochains.
Cette évolution mérite toutes les félicitations. Elle tendent à améliorer le bien être et la longévité de l’espèce. La recherche avance et nous profitons de ces avancées technologiques.
Mais nous devons veiller à l’utilisation de ces découvertes.
Par décret et arrêté du 15 mars 2010 publié au journal officiel le 16 mars, la direction générale de l’offre de soins (DGOS) est créée au sein du ministère chargé de la santé, en lieu et place de la direction de l’hospitalisation et de l’organisation des soins (DHOS).
Dans ce cadre, la DGOS substitue à une logique d’expertise, une logique de pilotage stratégique, d’élaboration des politiques, d’animation et d’appui à leur mise en oeuvre, de contrôle et d’évaluation.
L’organigramme de la DGOS se compose :
Trois objectifs forts
promouvoir une approche globale de l’offre de soins
assurer une réponse adaptée aux besoins de prise en charge des patients
et des usagers
garantir l’efficience et la qualité des structures de soins
Le bureau des prises en charge post-aiguës, des pathologies chroniques
et de la santé mentale (R4)
organise le suivi sanitaire et propose les adaptations nécessaires des modalités de financement pour certains troubles ou pathologies (psychiatrie, addictions..), populations (personnes âgées) ou temps de l’hospitalisation (SSR…)
applique, plus généralement, cette approche à la définition des parcours de soins pour l’ensemble des personnes souffrant de maladies chroniques
coordonne à ce titre, pour la DGOS, la définition et la mise en oeuvre des volets sanitaires des plans de santé publique
+ pour le patient : un accès aux soins pour tous, sans discrimination, une meilleure visibilité sur l’activité des différents établissements, la transparence sur la nature et le coût
des prestations offertes, un tarif unique dans le cadre des missions de service public assurées par les établissements, quel que soit leur statut
La confiance est aussi un caractère affectif de respect. Je ne pouvais douter de ce praticien.
Les années se sont passées dans les souffrances physiques. Des pertes d’énergies, des opérations de circulation de sang. Et la douleur plus intense a pris le pas sur la concentration extérieure.
Mon couple vole en éclat et je me sépare de l’exploitation. Un enfant de 14 ans à élever. Etre femme seule à élever un enfant est un nouveau défit. Quelle énergie développer pour lui apporter le confort dont elle a besoin.
Continuer à se battre pour récupérer une part de ce bien que j’ai moi aussi créé. Se faire entendre par les avocats qui ne veulent en faire qu’à leur tête. Des ennemis j’en avait déjà, de nouvelles rencontres creusent encore les écarts avecles personnes qui ne veulent pas m’aider. Je ne peux malgré ces aléas m’assimiler à un dérèglement mental. Alors avoir du mal à retrouver un emploi, des difficultés financières, des douleurs chroniques, le tout donne le droit aux médecins d’associer la situation personnelle à la maladie mentale.
Ce rapprochementJe proteste
Comment peut-on réunir une pathologie mentale à celle bien réelle de physique.
Repousser les limites de maladies chroniques vers la frontière des maladies mentales.
Cette frontière est haute et honte aux frontaliers de ne pas vouloir refuser la confirmation de la réalités des
Pathologie.
Est-il possible que ces deux techniques d’exploration doivent obligatoirement s’assimiler . La formation de l’une des deux professions ne possède pas toutes les matières pour établir un diagnostic.
Mais je ne crois pas que ce manque de formation explique toute la situation. Depuis des années je souffre et le nouveau médecin de proximité ne se décide à aucune investigation. Dans notre village, tout le monde se connaît et ce médecin est très ami avec mon ancien praticien.
Je suis amenée à consulter un autre médecin qui se décide à trouver quelques éléments de réponses. Les essais de médicaments sont arrêtés à causes des réactions d’hypertension.
Le premier rhumatologue, prend cette affection avec trop de recul. Et les premiers examens n’apportent aucune réponse.
Ma fille, la recherche d’emploi, les Tribunaux de séparation occupent tout mon temps. Des petits boulots, consolident mes ressources. Mais aucun emploi rémunérateur. Les atteintes augmentent, la douleur aussi et c’est dans un Centre de douleurs chroniques que je vais avoir droit à une radio des poumons, une radio des seins, une visite de gynécologue et une recherche de syndrome sec. Tous s’avère négatif et l’envoi vers le pôle mental est la seule alternative proposée.
Comment après deux séances ne pas remarquer que rien ne se règle et la douleur prend place malgré les essais neurologiques. Dépasser le stade de la douleur. Une occupation permanente. La scintigraphie est sans particularité donc ainsi faire de la kinésithérapie semble logique.
Des allergiesincohérentes, imprévisibles qui ne sont pas vérifiées.
Toujours aucune proposition de prise en charge sociale.
Lors d’une crise plus aigue,l’appel au secours n’a aucun échos.
Et pendant des années airer vers des diagnostics que je dois justifier a été épuisant :
La vieillesse et l’usure à 48 ans, l’obésité sans alimentation changée depuis 30 ans,l’alcoolisme pendant des années, bien que la dégustation ne représentant pas du tout cet état d’ébriété. Je dois amener les preuves
L’explication est ailleurs. Mais personne ne veut entendre. Les maladies que pourraient m’apporter mes chats est aussi éliminé et seules les vexations, plus graves les unes que les autres sont maintenant accrochées sur le tableau de l’élimination.
Mais six années s’écoulent sans apporter de réponses.
Lucide sur l’aggravation permanente je ne trouve toujours pas d’échos. Pourtant l’hypothèse de l’origine d’un évènement indésirable est soulevé. Mais malgré la campagne qui a été mise en place en France sur les Infections nosocomiales n’est pas prise d’effet. Les Numéros disponibles à cet effets ne sont pas pris d’effet en matière médicale et de prise en charge sociale. Le Médiateur de Santé a été créé.
C’est le Médecin Traitant qui me mettra sur la voie.
Normal pour un Médecin mais en lisant « Affectio Santé » vous
Verrez qu’il ne la pas fait exprès au contraire.
Sans aucun traitement la pathologie a progressé. L’élément pathogène
A eu tout loisir pour agir se propager et s’installer. C’est encore
Une douleur encore plus intolérable qui me fait consulter le
Troisième rhumatologue. L’épaule est touchée. Plus de coiffe.
« Maladie de Behcet » Le rhumatologue sait ce qu‘il a à faire. Et
Bien non. Doute, questionnement un nouveau médicament.
Il faut aller voir la dermatologue, la dermatologue le dentiste.
Le dentiste ne peut rien faire. Quatrième rhumatologue. Il ne peut
Rien sans informations. Il m’adresse au service de nutrition, diabé
Tologie et maladies métaboliques; au Centre de la Douleur et je ne
Peut être reçu par ces Médecins.Le nombre de déceptions ont été
Mutilipliées et c’est ainsi que mes convictions sontdevenues certitudes.
Les diagnostics avancés ont tous été écartés
Autant je n’ai pas pris au sérieux les troubles de comportements autant les explications apportées à la pathologie étaient vexantes, blessantes et arbitraires
Dès qu’un désordre est annulé je l’affiche au Tableau
Syndrome Sec
Polyarthrite
Goujerot Jorgen
Vieillissement (48ans)
Intolérence à la douleur
Obésité
Alcoolisme
Simulation
Griffes de chat
Vih-Lyme-Sep
Maladie de Behcet
L'information a rattrapé ces affections Iatrogènes et le Procès le plus médiatisé s'est terminé en Mars 2010
Un élément pathogène dégagé par mon rhumatologue l'Infection à Mycobacterium Xenopi
Essayer de convaincre les Médecins de la nécessité d’un traitement afin d’éviter des pathologies beaucoup plus lourdes financièrement pour la Sécurité Sociale.
Les investigations demandées n’ont pas été envisagées par le Chu. Pourtant elles sont toujours pratiquées.
J’en ai eu la confirmation. Scintagraphie au GalliumMacrophagesLiquides articulaires doivent être envisagés.
J’essais d’éloignerla douleur le plus possible, mais cette affection touche maintenant des organes vitaux.
Les yeux :kératitesLe foie :Une NashLe Cœur
Rupture Coiffe des rotateursCalcifications
Le nutritionniste confirme une hypoglycémie sans bilan diabétique positif . Il va être difficile une courbe e pois à la baisse.J’ai repris malgré tout une activité e marche qui m’épuise et le nutritionniste me propose la gastroplastie en laquelle je crois.
Je rappelle souvent que je tiens beaucoup à mes yeux. Les kératitesme brûlent en permanence et restent malgré tout secondaire au niveau des douleurs.
Il m’arrive maintenant de perdre patience.
Même si j’arrive à convaincre que je ne suis pas atteintes de troubles profonds je n’ai pas su réagir à une atteinte plus lourde :
« Vous vous déchargez sur les autres ce que vous devez vous-même entreprendre…... »
J.F. B
Je sollicite aussi la recherche. Bordeaux vient de s’équiper d’un Robot Neuromate à la pointe de l’exploration.
« La nature des inclusions macrophagiques est trouvée par P………... M………….. du CNRS à Bordeaux, grâce à une technique mise au point par lui au centre de recherche nucléaire de Bordeaux-Gradignan : c’est de l’aluminium. »
Il y a ainsi des alternatives qui me laissent l’espoir de Trouver une confirmation etavancer dans cette
Le CHU de Toulouse Centre de référence des Infections ostéo-articulaires pour l’interrégion Sud-OuestMme Roselyne BACHELOT-NARQUIN, Ministre de la santé, vient de désigner le CHU de Toulouse Centre de référence de l’interrégion Sud-Ouest (Midi-Pyrénées, Aquitaine, Limousin) pour la prise en charge des infections ostéo-articulaires.
Le Pr Jean P…….., chef du service de Traumatologie et Orthopédie et responsable du pôle Institut Locomoteur du CHU de Toulouse coordonnera cette activité avec les équipes des services compétents des CHU de Bordeaux, de Limoges et de Toulouse.
Un hasard. Lors d’une consultation de ma fille, j’ai signalé une gêne dans mes yeux.
L’impression de sable est désagréable. La consultation s’est faite à la suite de ma fille et làOups.Problème.
Les premiers échanges médicaux, la pathologie pour elle est évidente et elle persiste dans son diagnostic qui s’est aggravé.
Aucun traitement n’est mis en place, puisqu’il n’y a pas de diagnostic.
La dermatologue lui demande d’arrêter le traitement local qui ne peut en rien dérange les autres traitements. J’ai bien senti le conflit qu’elle peut avoir vis-à-vis de l’établissement Hospitalier. Mais elle a sa conscience et si elle a suggéré undiagnostic, elle doit se modérer.
Elle soutien son traitement. Son choix du soin du patient est courageux .
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